1) Le tatouage sudiste est présent mais j'évite de poster ce genre de drapeau. In game aucun problème mais sur internet ça véhicule une certaine idéologie, un certain courant de pensée.
2) L'argument ontologique, en philosophie... C'est fascinant.
Ontos, c'est l'être.
Je vais tenter de donner un exemple.
Je suis un être fini. Je peux pourtant penser, conceptualiser, l'infini. Cela donne une forme d’existence à l'infini. L'infini ne fait pas partie de moi, mais je peux en faire partie et je peux le conceptualiser. Une preuve de son existence ? (=> Argument ontologique comme preuve de l'existence de Dieu. heureusement réfuté par Kant et si je me souviens bien Thomas d'Aquin n'en était pas fan non plus).
=> On peut faire le lien avec la dualité essence <-> existence (??)
Penser une chose lui prête-t-il une existence ?
Avant le XIX siècle, le chômage "n'existait pas". Avec l'apparition des statistiques démographiques et nationales + l'industrialisation + exode rural + émergence de la lutte ouvrière => "apparition" d'une catégorie de personnes inclassables. De là, mise en place de politiques publiques, distinction (assistance // assurance) etc.
Définir l'être, c'est lui donner corps, le faire exister.
Les mots sont importants.
Voilà un résumer de ce que j'ai peut-être (mal) compris.
3) Oui la BD n'est pas simple. Je n'ai pas saisi l'ensemble des concepts mathématiques /physiques. L'important est de comprendre qu'on n'a pas compris alors que les vulgarisateurs veulent nous faire croire que c'est simple.
Ce qui devrait être présenter par les magazines scientifiques comme une porte d'entrée vers la complexité devient une norme de savoir. Je pense que c'est ce qui est dénoncé par le BD. Et épistémologiquement, c'est le truc à retenir. Parce que sans m'en rendre compte je suis aussi tombé dans le piège. Gasp.
4) J'adore celle ci.
5) Daybreak en fait ce n'était pas top. Les 2 ou 3 premiers épisodes passent mais après beurk. Quelques bonnes idées mais ça ne vaut pas le coup. Dommage, au début il y avait du potentiel.